Rappel:
Rappel: http://teatiny.canalblog.com/archives/2010/08/index.html
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Réflexions
I. Changement de direction des ondes (par ex. lumineuses) qui rencontrent un corps interposé.
II. Retour de la pensée sur elle-même en vue d'examiner plus à fond une idée, une situation, un problème.
Annotations I.
Le projet "Boussoles Blanches" est une série photographique débutée en 2009 portant sur la puissance créatrice et d'engendrement de la Nature. Il a pour objet d'étude, l'environnement "sauvage" ou partiellement "apprivoisé" par l'homme. L'intégration de l'humain dans le paysage ne figure que comme traces d'un passage, d'une action symbolique ou pour donner une échelle.
Inspirations I.
Marc Trivier, Arbre, Folkestone, 1986
Paul Graham, Union Jack flag in tree, 1985
Annotations II.
Le paysage est vécu comme une expérience de la temporalité, le temps vécu par la conscience.
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Je pioche derrière les écrans des interludes qui rendent mes journées flottantes... au point d'en oublier le défilé des heures, des levers et des couchers.
Inspirations II.
collecte bordélique / boulimie
"words, words, words" (Hamlet, 2.2.192)
Rien à voir avec la photographie du "paysage".
Seule, l'obsession.
Le besoin d'aspirer,
De se cogner et de rogner
Le bord de mes pensées.
Projet M.O.
Michel. George. What else ?
Il n'y a pas de doute, chez Flammarion, on boit des Nespresso.
En me penchant sur le dernier livre de M.O., j'ai pu faire ce rapprochement étonnant entre la couverture du Manifeste Hédoniste, sorti aux éditions Autrement, appartenant au groupe Flammarion et l'affiche du film Ocean's Twelve.
Le livre, un produit marketing comme les autres, le philosophe aussi.
— extraits de publicités Armani
Cette couverture m'a fait réfléchir sur les limites, que le système du marketing tend à abolir, entre la photographie publicitaire (celle qui est là pour vendre un produit) et la photographie, disons réflexive (celle qui n'a pour objet qu'elle-même). En mon for intérieur, je me suis jurée de ne jamais être dans la complaisance du marché et de la vente car transfigurer l'humain en produit est pour moi aussi vénéneux et incompréhensible que de dire que "la beauté a un prix".
Je ne pense pas à mal de l'argent. Je pense à mal de certaines de ses utilisations.
Idéaliste ? Pas temps que ça pour ceux encore qui réfléchissent sur la condition du devenir "homme".
Puisque T.T. partage la pensée que l'homme se définit par sa liberté seule, elle étudie avec attention ses déterminismes propres.
«Celui qui veut être un homme doit être un anticonformiste.»
— Ralph Waldo Emerson.
Des questions que je me me pose dans ce projet autour de M.O., à savoir quelles images sélectionner pour ne pas faire la "promotion" d'un homme mais rendre l'exactitude de son travail et de son parcours dans la vie.